Cinq plantes à potentiel neuroprotecteur issues des données ethnopharmacologiques

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Description

Chloé Jacquemin, Docteur en sciences pharmaceutiques / PhD en Chimie analytique, Paris

Les maladies neurodégénératives sont un problème de santé publique majeur, pour lequel il n’existe pas de traitement efficace. La prévention de ces maladies devient alors primordiale.

Dans ce contexte, une piste intéressante réside dans les pharmacopées du monde, où l’on retrouve des substances naturelles prometteuses, qui s’avèrent parfois posséder des propriétés neuroprotectrices.

Dans le cadre de ma thèse en Sciences pharmaceutiques, j’ai ainsi décidé de m’intéresser à cinq plantes issues des données ethnopharmacologiques et possédant des mécanismes d’action en lien avec des effets neuroprotecteurs.

Cet article, issu des recherches bibliographiques réalisées alors, se penche sur les utilisations traditionnelles et actuelles de Yerba santa, Yerba maté, Voacanga africana, Bacopa monnieri et de Pueraria lobata, ainsi que -et surtout- sur leur intérêt en tant que plantes à potentiel neuroprotecteur.